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Dionys Décrevel

Dionys Décrevel, né en 1976, écrivain de langue française, chroniqueur pour ADA et Benzine Mag, parolier pour les Imprudents, Vlashent Sata et Cédric Antonelli. Participe au « Rimbaud après Rimbaud » paru chez Textuel, une édition établie par Claude Jeancolas. Il a également publié dans la revue Mercure liquide et aux éditions du Manteau de pluie.

Mes deux premières chroniques pour A Découvrir Absolument et Benzinemag

Publié le 3 Décembre 2018 par Dionys dans articles

Mes deux premières chroniques pour A Découvrir Absolument et Benzinemag

Credit photo © Bastien Burge Les singles, tour à tour sortis par Fred Nevché, tout comme la pochette de l'album, arborent de magnifiques pavillons dont la sobriété des couleurs rappelle ceux d... " Dans l'affection et le bruit neuf ", c'est pas ces mots...

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Passé par le feu (extrait)

Publié le 20 Novembre 2018 par Dionys dans Poésie

Passé par le feu (extrait)

Un fétu d’étoile éclaire la route mais le chemin s’est perdu sous la boussole de l’espérance. Des errants sans retour se cachent dans ton silence et pénètrent au jour dans la filière de l’ombre. La chaleur du désert glace la nuit que je traverse et le...

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Passé par le feu (extrait)

Publié le 10 Novembre 2018 par Dionys dans Poésie

Passé par le feu (extrait)

Dans les migrations du sang, il y a le finisterre de tes veines et la terminaison de tes nerfs. Je salive à marée basse dans la salaison des lunes. Je suis l’enfant du dernier souffle et le temps passe comme un désert de sable entre mes doigts. C’est...

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Passé par le feu (extrait)

Publié le 3 Novembre 2018 par Dionys dans Poésie

Passé par le feu (extrait)

Je ne cultive aucune arrière-saison. Mon corps est seul saisonnier de l’âme. Mes fleurs font taches et embaument de leurs rousseurs amères le champ vert de l’amour. L’automne, remis de ses blessures, m’invite à goûter ce silence mordoré qui préfigure...

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Passé par le feu (extrait)

Publié le 27 Octobre 2018 par Dionys dans Poésie

Passé par le feu (extrait)

L’épitaphe d’une fleur sans nom, posée sur la pierre, me rappelle aux floraisons de l’être. J’écris à la griffure des roses dans le cuir tanné du souvenir. Ce n’est que la peau du chagrin, dans la mue du temps, le passage de la fleur sur tes parfums immobiles,...

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Juqu'au 30 novembre, librairie la Carbonera, Barcelone. Exposition du photographe Ángel Herranz, présentation de son livre "Los Últimos masoveros" avec ma traduction de la préface de Clara Martín Grau.

Publié le 4 Octobre 2018 par Dionys

Juqu'au 30 novembre, librairie la Carbonera, Barcelone. Exposition du photographe Ángel Herranz, présentation de son livre "Los Últimos masoveros" avec ma traduction de la préface de Clara Martín Grau.

Tous droits réservés Ángel Herranz

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Comme je vous vois

Publié le 3 Septembre 2018 par Dionys dans Théâtre

Comme je vous vois

Léon Spilliaert - Autoportrait au miroir - 1908 - Un homme, apparemment seul, face à la psyché, mais qui parle de deux voix distinctes. L’un et l’autre sont le même. Moi ? Oui, toi qui te dis moi, tu es normal, ça saute aux yeux. Mal formé. Bien normé....

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La Vogue (Liliom)

Publié le 29 Juillet 2018 par Dionys dans Nouvelle

La Vogue (Liliom)

Kees Van Dongen - Les artistes de cirque - 1905 - Il y a dans le fond de l’air, une musique harmonieuse, celle du grand orchestre de la vogue. La grande roue tourne sur elle même et va dans le sens du temps. La roue tourne et un homme tourne à l’intérieur,...

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Ils étaient si nombreux dans mon sang

Publié le 23 Juin 2018 par Dionys dans Poésie

Ils étaient si nombreux dans mon sang

Balthus - Grand paysage aux arbres (Le champ triangulaire) - 1955 - A mon ami Samuel Bois Marchant sur le bord de ma solitude, comme un voyageur anonyme en passe de destin, je me laisse aller aux quatre vents de l’incertitude. Ne cherchant rien, trouvant...

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Frères humains (des fruits étranges)

Publié le 7 Juin 2018 par Dionys dans Poésie

Frères humains (des fruits étranges)

Pisanello - San Giorgio e la principessa - 1433-1438 - J’ai pris le parti du sanglier Celui qui laisse dans la boue De profondes traces d’énervement Jull Frères humains (poètes de passage) Le silence broie le noir de sa parole et chante l'indulgence...

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